Nouvelle recrue,un matin de brume

Ce matin-là était un matin gris où la pluie ne se décidait pas à tomber,mais où le soleil refusait de se montrer;la ligne d'horizon se voilait derrière un masque de brouillard.Les marins regardaient le ciel,mornes,savant que la journée ne serait pas des meilleures.Même le vol des mouettes autour de la forêt de mâts semblait de mauvaise augure.
Pourtant,le temps maussade n'altérait pas le pas décidé d'une demoiselle visiblement pressée de rejoindre un navire.Un pantacourt,une chemise un peu trop grande et une longue tresse conférait à Mary tous les traits du parfait garçon manqué.Une besace à l'épaule,elle cherchait des yeux le navire légendaire sur lequel elle allait embarquer.
Le Black Pearl.
Ce nom suffisait à faire tergiverser pendant des heures les vieillards taciturnes et à faire frémir les jeunes soldats du fort.Elle apperçut bientôt les voiles noires du batiment et sourit comme un gamin qui vient de trouver un nouveau jouet : ce vaisseau serait son terrain de jeu pour au moins quelques jours.
La jeune femme siffla un petit mousse qui arranguait d'imposants pirates chargés d'embarquer diverses caisses.

-Dis-moi petit,tu n'aurais pas vu le capitaine de ce navire,par hasard ?

-Le capitaine en question s'appretait justement a appareiller !

Jack arrivait en force de a ville .Il revenait d'une negociation qui n'avait pas aboutit et semblait quelques peu colerique .

-Bienvenue a bord matelot !Vous tomber a pic je doit dire , depuis la derniere pasagere glandestine , les canons n'ont plus eté astiquer !

Et sans dire un mot de plus , il monta la passerelle de son pas mal assuré .

Sur ses lèvres se dessina une petite moue amusée.Décidément,Sparrow ne changerait jamais.

-Bien le bonjour,capitaine...répliqua-t-elle,malicieuse.

A son tour,elle posa le pied sur la frêle planche de bois et retrouva avec délice les embruns sur son visage,les bruits d'un navire,le roulis appaisant de l'Océan.Sa respiration se fit imperceptible tant l'émotion la submergeait.Mary n'avait pas repris la mer depuis...Le Phénix.Mary ,plongée dans ses souvenirs,fit quelques pas hésitants sur la pont,les yeux se promenant sur les cordages.

-Ce serait un immense honneurque d'epousseter vos canons,capitaine,mais pour cela,il me faudrait quelque ustensils...

Elle reporta son regard sur Jack,attendant patiemment qu'il lui montre où trouver le matériel approprié

Il fut d'abord etonné puis prit sa fausse apparence legendaire du seul maitre a bord en relevant le manton avec fierté :

-Un simple vieux chiffon et un peu de salive vous suffira amplement matelot !

Sans bouger , il detourna son regard malin vers les canons qui se trouvaient le long du bastingage et un fin sourire vint eclaircir son visage

Au fond des prunelles du "matelot" naquit une petite étincelle d'ironie,comme pour lui dire "Vous voyez capitaine,il en faudra plus pour me décourager".

-A vos ordres,capitaine ! répliqua-t-elle comme le voulait la coutume.

D'un pas décidé,elle partit tranquilement vers la proue,en attrapant au passage un sceau et un vieux morceau de toile déchiré.Une corde,et il lui suffirait de lancer le sceau par dessus-bord pour obtenir de l'eau.Quant au savon...Sparrow n'avait pas précisé que ces pièces devaient briller comme des sous neufs.
Mary noua les deux pans de sa chemise au dessus de son nombril et,relevant ses manches,commença vaillamment à frotter le premier canon qu'elle trouva.
Bien sûr,certains membres de l'équipage stoppèrent illico leurs diverses activités pour venir l'observer et lui faire des propositions plus ou moins douteuses ainsi que spéculer sur sa vertue.Mais la jeune femme avait fermé son esprit et ne les entendait pas : nettoyer les canons,rien d'autre.Et quand l'envie lui prenait de reprendre son souffle un instant ou de répondre à un des marins qui commençait à l'énerver,elle respirait profondément et se remettait à l'ouvrage.

Trois heures avaient passé,le soleil des Caraïbes commençait son assenscion du ciel d'opale,et Mary n'avait rempli qu'un quart de la tâche qui lui était impartie.La sueur avait rendu par endroit sa fine chemise transparente,et les hommes repartaient de plus belle dans leurs propositions et leurs railleries.Après tout,pourquoi une créature si attreyante se trouverait-elle sur ce batiment si ce n'était pour ravir de ses charmes l'équipage aux abois ? Un regard noir venu de l'intéressée leur ferma un instant le clapet,mais la jeune pirate savait bien que ce séjour devrait se faire avec ces rustres,quoi qu'il en coûtait.
Epuisée,elle arrêta le va-et-vient de son chiffon et s'assit contre le mât de misaine,tout en réfléchissant au moyen de se jouer de ses collègues.

-Veni,Vidi,Vici,comme disait l'autre...murmura-t-elle,son regard passant sur la ligne d'horizon.

-Quand j'etait matelot de l'avant , le haut de lamisaine etait pour moi le meilleur moyen d'echapper au vieux loup de mer qui repettaient sans cesse aux moussus de se remuer le calcon !

Jack s'accouda au premier mat fin de la proue

-C'etait le bon temps !Enfin !

Apres avoir fixé lui aussi au plus loin , il baissa le regard vers la jeune femme :

-Alors milaidy, est ce que votre jolie nez se replete sur les parois des mes canons ?

A son tour,Mary regarda le pirate,étonnée qu'il se mêle ainsi aussi familièrement à son équipage.

-Plus que le reflet,dans les eaux ténébreuses,de cette coquille d'argent qu'on appelle la Lune,capitaine ! Mais par contre...

Un sifflement suraiguë lui fit tourner la tête pour découvrir qu'une nouvelle fois,elle se tenait au centre de toutes les attentions,et certainement pas des plus vertueuses.

-Je dois bien avouer que j'ai bien failli succomber à l'envie fugace d'en faire avaler un ou deux à vous marins ! Ces garnements sont d'une friponnerie ! A croire qu'ils n'ont jamais vu de femmes de leur vie de débauches !

Milady...Pourquoi la surnomait-il ainsi ? Mary n'avait rien d'une grande dame,ni l'allure,ni les manières,ni la fortune.Il faudrait qu'elle lui pose la question un jour...

Le capitaine etait alors occupé a faire les cents pas sur leplanche desseché par le soleil a cette heure brulante de la journée .Ceci a un tel point qu'il otta son tricorne pour se frotté la faible partit de son front qui n'etait pas recouvert par son bandeau .Il finit par se planter devant Mary :

-En decidant de naviguer sur un navire dont l'equipage etait , jusqu'a cette heure , composser , la plupart du temps , entierement d'homme , il fallait vous attendre , majestée , a subir quelques "bouffoneries" de la part de ces asticots qui n'ont pour cervelle qu'un seul et unique grain de sable !

Il parlait maintenant le menton fierement haut Pour finir par sourire mielleusement a la jeune femme :

-De debauche ...pas sur ! Tous n'ont pas un charme egal au mien !

Son sourire s'intenssifiaet il s'approcha d'un pas legerement desequilibrer vers la jeune femme .

Elle glissa négligemment un mèche de cheveux rebels derrière son oreille,visiblement alanguie sous le coup de la fatigue ou de la chaleur provoquée par l'effort physique.

-Ce que je ne saisis pas,c'est pourquoi je les intéresse.Ils trouveraient certainement des femmes plus...Conciliantes à Tortuga.Je n'ai rien de particulier à offrir...Sauf peut-être pour ceux qui savent bien chercher...

Elle rentrait consciemment dans le petit jeu de Jack,miment parfaitement l'inconséquence de celle qui ne sait pas dans quoi elle s'engage...

-Mais je n'ai jamais douter de vos attraits,capitaine.Qui le pourrait,d'ailleurs...?

L'ego du charmant capitaine fut comblé et il se tressaillait la barbe en signe de satisfaction .

-Imaginez vous au milieu de l'ocean avec pour seul distraction un equipage tout entier de femmes et qu'arrive soudain un homme des plus attirant ...Enfin point de vue purement feminin ...Ne serait ce pas la votre distraction principale que de l'admirer ?

Mary ne se voyait pas du tout passer le reste de ses jours à soupirer après un pirate qui lui préfèrerait une bouteille de rhum ou sa voisine de hamac...Cependant,elle décida de se ranger à l'avis de son capitaine.

-Admirer...Ou autre chose.....

Elle retint de justesse un petit rire.Cette situation lui paraissait si comique....

-Comme lessiver ses canons,par exemple ! Les preuves d'affection sont si variées...

Le sous entendu evoquer par Mary lui sonna dans la tete tel un gong .Il degagea un sourire des plus divin avant de s'approcha de la jeune femme :

-Les preuves d'affection peuvent etre beaucoup lus appropriés a condition que sont destinataire sache les interpreté ...!

Comprendre le sens du geste...Cela peut être compliqué dans les deux sens,en faisant des choses que l'autre peut mal interprêté,en se dépassant pour cette personne en souhaitant de tout son coeur qu'un jour,cela pourra être nommé "preuve d'amour" et être accepté comme telle...
La jeune femme détourna les yeux,soudain morose.Elle pensait à celui qu'elle allait laissé et qui peut-être lui en voudrait...

-Vous avez tout compris,capitaine...C'est si compliqué et pourtant,quand on la trouve,on se dit que c'est pour la vie...Alors qu'après tout,sait-on vraiment vers quoi on s'engage...?

Il ouvrit de grands yeux taquineurs :

-Vous avez la l'esprit bien embrouiller par un tas de choses bien trop compliquer pour quelqu'un comme moi !Laissez donc ces canons ils sont propre maintenant !Vous et l'equipage , profités de ce calme plat pour vous mettre quelques instants a l'ombre afin d'eviter que les cervelles deja bien atteintes ne bouillissent de plus !

Sur ce mots et apres un dernier regard aguicheur envers le jeune femme , il reprit paisiblement le chemin vers la cabine principale et y entra .Une fois a l'interieur , il ballanca d'un geste las son tricorne sur le large bureau sombre et s'y assit derriere en envoyant d'un effort ces pieds au dessus .

Mary eut soudain envie de s'isoler,de courir loin de tout pour être seule face à elle-même et faire le point,la tête vide.Mais où qu'elle posât les yeux,du monde,du bruit,des personnes qui lui adresseraient la parole,des conversations.Un instant de panique la submergea,ce sentiment de ne pas être à sa place,posée là comme un paquet oublié.
Elle se leva comme pour mettre à profit cette poussée qui l'enjoignait à quitter le navire.La jeune femme slaloma entre les marins qui venait vers elle pour faire sa connaissance,les ignorant superbement,et monta quatre à quatre les marches qui reliaient le pont à la dunette.Arrivée devant la porte de la cabine principale,elle frappa deux coups rapides et passa sa tête et une partie de son buste par l'embrasure de la porte entrouverte.

-Capitaine...Dans ma précipitation,j'ai oublié de vous demander...Ou se trouve ma paillasse ?

Mary n'avait pas la prétention de requerrir un hamac et prendrait ce qui lui tomberait sous la main.De toute manière,sur un vaisseau tel que le Black Pearl,les heures de repos devaient être bien rares...

Le capitaine releva doucement la tete de ces cartes auxquelles il n'avait pas l'air tres inspirer de les comprendres ! D'abord , ce fut un leger grognement qu'il emit puis secoua la tete et revint a des esprits plus clairs :

-Une pallasse ?Une pallasse !Nan voyant !Nous autres sommes galants !Les pallasses sont toutes froides et humides !Demande a Marty , il te fera echange de son hamac .

Il emergea a nouveau le net de la table et possa ces coudes au dessus en la fixant d'un sourire naissant .

Marty...Inconnu au bataillon.Les yeux au plafond,elle tenta sans résultat de se remémorer les noms qu'elle avait entendu au hasard depuis son arrivée,mais aucun Marty ne lui vint à l'esprit.

-Très bien,je vous remercie,capitaine.

La jeune femme remarqua alors le sourire de Jack et en déduisit que cette carte comblait son observateur.Un trésor,une route inexplorée ? Elle haussa les épaules : cela ne l'intéressait pas.Elle avait mieux à faire que d'espionner son capitaine,surtout pour un vulgaire bout de parchemin.

-Vous savez où me trouver,en cas de besoin...

Le matelot referma la porte derrière elle et redescendit sur le pont,cette fois plus encline à se fondre dans la masse.Son regard passa sur tous les visages et elle se demandait par où commencer quand une main se posa sur son épaule....

-Marty , c'est le plus petit que tu trouveras apres les chevres et les cochons qui sont dans les cales cherie !

Jack se retourna et sembla chercher un matelot .Mais ou il etait encore passer celui la !Un brin d'agacement pour se lire sous les traits tirés de sont visage .Gibbs lui apparut enfin :

-Monsieur Gibbs !3Barres a tribord !passons les hauts fond et apres revirement de 3 barres babord !

Le malheureux second ouvrit de grand yeux et ossa un suggetion :

-Mais capitaine ...

-Stop !Boucle la et fait ce que je te dis !

Le marin avait heureusement l'habitude des sauts d'humeur de son capitaine et n'en fit rien .Il contenta de se murmurrer a lui meme :

-3 barres a tribord puis a babord !Ca veux rien dire !

Jack , quand a lui , avait garder cette expression enervé et s'approcha du bord pour observer la bande d'eau plus sombre qui designer les hauts fonds en question .

Invité

Un fois le travail fini Gibbs demanda au capitaine:
-C’est normal que la voile penche autant ,je crois qu’il y a un problème.

*Gibbs étais étonner, la voile n’avais jamais autant pencher.
Mais cependant Gibbs alla voir,Il pris sont couteau dans la bouche ferma sec avec ses dents et s’accrocha à la ficelle qui retenais la voile pour il monta et il vue que le fil aller bientôt céder.

*Gibbs sauta enfonca sont couteau dans le mat et descendit.
Pris de panique Gibbs alla de suite en informer le capitaine .
-Capitaine, la voile ne vas pas tenir très longtemps il me faudrais un corde de a peu près cinq mètre pour pouvoir la réparer .

Puis Gibbs resta debout en entendant un réponse du capitaine.

Jack fit le mouvement nerveux d'une mine etonnée !

-Comment ca mes voiles sont de travers !!

Il s'avanca alors precement en eloignant Gibbs de son chemin pour se postezr au pieds du grand mat .Il leva la tete et mis sa main en visiere pour se cacher le soleil qui reignait toujours en maitre .Il hasita d'abord avant d'affirmer :

-Um .... Effectivement il n'est pas bien droit !

Mais sa fiereté envers son navire le poussa a faire mine de ne pas s'alarmer .Il avait en effet vu le ptremier maitre grimper pour aller voir de plus pret mais ne pu s'empecher de donner l'ordre :

-Eh bien !Qu'attendez vous pour la reparrer ?!Prenez des cordes , du tissu , des poullies et que sais- encore !!!Mais depechez vous !Alller aller !

Invité

*Gibbs descendit les escaliers qui menais en fond de cale pour aller rechercher la corde de 5 mètre qui lui fallait pour réparer cette bonne veille voile.

*Un fois arriver en fond de cale, il regarda autour de lui et vit des femmes qui dansais et du rhum a volonter car c’étais le jour de repos de certain matelot.

Gibbs alla a une table, vue un matelot et lui demanda gentiment sa bouteille de rhum.
Le pauvre matelot il étais sous donc Gibbs pris la bouteille a deux main ,fracassa le bout contre la table et bu une plein gorger .
Ensuite Gibbs devais aller chercher la corde de 5 mètre ,Il tira une table qui bloquer l’accer puis il ouvrit tranquillement la porte et ce mit a chercher .
Quelque minute fur passer qu’il trouvit la corde.
Elle était sur une veille étagère en bois .

Gibbs la entourer au tour de sa taille et remonta avec la corde et sa bouteille de rhum.
-Tenais capitaine ma bouteille de rhum je vous la donne elle et pratiquement pleine.
Puis Gibbs enfourcha le couteau dans la grand mat et ce mis a monter.
Quand Gibbs fut en haut il pris les deux extrémités de la corde qui allais céder et la trancha puis pris la nouvelle corde et l’ajusta en faisant un noueux qu’il avais appris .
La voile c’étais redresser j’alla de suite annoncer cette bonne nouvelle au capitaine .

Je pris la veille corde et a l’aide de mon couteau Gibbs la plantit dans le mat et redescendit:
-Et voila mon capitaine la corde de la voile et réparer nous retrouvont 100% de notre vitesse!! C’est quoi notre destination?
Car on commencer en manquer de vivre.
Gibbs étais devant la capitaine en entendant une réponse.

Invité

Au loin....Quelqu'un semblait nager....Un personne qui apparamment commençait légérement à fatiguer à cause des heures de nage qu'elle avait subit!Et elle ne manquerais certainement pas à ne plus adresser la parole au capitaine pendant des semaines et même à voir pendant des mois!La jeune femme qui était au loin,était Elizabeth Swann.Oui,la jeune femme avait décidé de venir sur le Pearl pour continuer les fameuses aventures et surtout retrouver William Turner.
Elle arriva donc devant le Pearl et aperçut Gibbs qui lui lança une corde.

-Merci! Fit-elle doucement alors qu'elle reprennait son souffle assez brusquement.

A la vue de Jack elle aurait vraiment eu envie de l'étrangler une bonne fois pour toute,mais se retint à la minute qui vint!

Invité

Elizabeth avait les vêtements tous mouiller donc Gibbs lui proposa de lui donner des vêtements sec. Elizabeth hocha la tete ,elle était d’accord. Gibbs se dépêcha d’aller discrètement dans les appartements du capitaine, puis ouvra la porte .Mais tous a coup un grincement aigu de la porte de fit entendre .Gibbs espérer que le capitaine n’avait pas entendu .Ensuite Gibbs une fois a l’intérieur referma la porte et chercha dans l’armoire un vêtement pour Elizabeth .

-Non celui la et trop grand, celui et trop petit, celui la est trop gros.

Après quelque minute de recherche il tomba sur le bon, une robe merveilleuse. Elle étais d'une couleur rouge un peu sale mais bon sa aller faire l’affaire. Gibbs réouvra la porte doucement mais cette fois ci aucun grincement. Ensuite il lui donna la robe et lui dit :
-Si tu veut te changer prend la porte de droite de l’escalier qui mène en fond de cale.

C'est sur ces mot que Gibbs pensa:
-Mais que va dire le capitaine, j’espère qu’il me donnera du rhum car elle et jolie.
Puis Gibbs alla nettoyer le pont car il étais assé sale.

Invité

Elizabeth remercia Gibbs qui venait de lui passer une robe de rechange puis elle alla donc vers l'endroit indiqué.Elle allait quand même pas se changer devant lui non?!Puis elle s'habilla donc à toute vitesse,mais ce qu'elle aurait voulu ça aurait été des vêtements de pirate,pas des robes comme ça^^"Sur un navire c'est pas bien pratique!Enfin,elle ne va pas se plaindre!
Une fois la robe enfilée,elle sortit sur le pont....

Invité

Gibbs est presque tomber dans les pommes quand il vue Elizabeth.
Elle étais resplendissante, ensuite Gibbs l’amena manger en fond de calle.
Gibbs s’assis a la table et proposa très poliment à Elizabeth de prendre place .

-Serveur apporte moi une bouteille de rhum et un cochon a la sauce pirate et apporte moi le menu pour cette jeune demoiselle.

Le serveur partie chercher le menue et l’amena a Elizabeth :

Serveur:Tenais Madame, vous y trouverais votre bonheur.

Ensuite le serveur partie demander au cuisto de préparer ce que Gibbs avais commandais.En enttendant un autre serveur arriva et une offrit une belle bouteille de Porte 1985.
Gibbs attendit la commande de Elizabeth.

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