Seul ...avec le cabot !

-Je ne bougerai pas !

Gabrielel a cote ecarquilla literalement les yeux mais compris ou il voulais en venir .Elle le fixa dans le fond de ces yeux noirs qui brillaient dans la penombre et qui ne pouvaient pas la laisser indiferente .Elle lui adressa d'un grand sourire complice .

-Je reste avec toi !

- Et vous pensiez vraiment que vous pourriez partir aussi facilement... lâcha une voix froide, que même la froideur et l'apparence inquiétante des geolles n'égalait pas.

Plusieurs gardes en uniforme de la EITC entrèrent dans les cellules, baïonnettes à la main, ils se mirent en position et tinrent la jeune femme et ses complices en joue.
Puis, suivirent trois étranges personnages. Ils n'égalaient peut être pas Mercer dans le genre mysterieux, mais leurs longs manteaux noirs à col remonté jusqu'aux joues et leurs tricornes leurs avaient valu leur réputation de vampires. Les noirs-manteaux. Les soldats d'élite de la EITC.

Beckett entra aussi simplement que ça, encadré par deux autres noirs-manteaux qui contrastaient étonnament avec sa petite taille et son allure. Il resta un moment à observer la scène, silencieusement. Il attendait que la flibustière prenne la parole pour trouver une bonne réplique cinglante avant de la faire pendre.

imbecile
souffla t'elle,puis elle entendit la voix de Becket

hoo bonjour Lord Becket
elle rangea son pistolet et se tourna vers lui

quel belle surprise,je veux vous parlerdit elle serieusement a nouveau

Curieusement, Beckett ne souriait pas. Son visage était froid, flegmatique au possible. C'était tellement inhabituel de sa part de ne pas sourire que même Mercer en fut mal à l'aise.

- La prochaine fois que vous me réclamez, vous pourrez plus simplement me faire parvenir une lettre... si tenté que vous sachiez écrire, ce dont je doute. Lâcha-t-il froidement.

Il tourna les talons, et deux noirs-manteaux prirent Jessica chacun par un bras, après l'avoir désarmée.

Les soldats restèrent un instant indécis, puis sous le regard insistant de Mercer, ils refermèrent doucement la cellule avec ses occupants dedans.

je sait très bien écrire figurez vous

elle se débattit un instant et on l'enferma,elle lacha un grognement et se laissa tomber contre le mur

-BEckett :"Et vous pensiez vraiment que vous pourriez partir aussi facilement... "

A ce moment , Jack croisa les bras avec un ton qu'on aurait presque put imaginer amusé :

-Je l'avais bien dire que ca ne valait pas le coup de se doner tant de mal ...C'est toujours pareil !

Il continua a observer l'attendrissant manege des petit toutous britanique qui obeissait au doigt et a l'eoil.Il lanca en rient :

-Comme il sont bien dresseés ...Meme le perroquet de Cotton n'est pas si inteligent que ceux la !

Le membre Capitaine Jack Sparrow a effectué l’action suivante : Lancer de dés

2 fois
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hoo la ferme

dit elle en regardant JAck

au moins j'ai essayée,et apres ca on murmure que le lengedire Sparrow est capable de fair emieux pour se sauvé allez j'attend
elle lui lanca un regard noir et alla s'acorcher au barreau

Il decida enfin de s lever de son fauteuil d'infortune et se dirigea vers Jessica .

-Pour l'instant rien de presse ma colombe !

Il la fixa dans les yeux avec ces ravageuses pupilles qui refleter la lumiere des trop rare bougies.

elle roula des yeux

on sera pendu demain matin a l'aube,non il faut trouver un moyen de s'évader

Ayant preter une oreille plutot discrete , elle retondit d'un air de hazard :

-Parlez pour vous !A parament il aime laisser miroyter les prisonniers !

Elle fixait Jack .Certes il etait de dos mais elel ne pouvait plus le lacher des yeux .C'etait decidement un sentiment qu'elle detestait resentircar celui ci etait plus fort que tout .

elle ne repondit pas,elle ferma les yeux un moment puis les ouvrits d'un coup sec


non doit faire quelque chose,elle se leva et fit les cents-pas

Après avoir été faire un tour du côté du bureau de Beckett, car ce dernier l'avait fait demander en raison de l'intrusion dans les cellules, Mercer revint d'un pas plutot guilleret (bien que tout soit relatif avec lui). Il se remit à son poste d'observation, son horrible sourire sadique toujours présent, et sa main dans son grand manteau, posée sur on-ne-sait quelle sorte d'arme, une des nombreuses qui constituaient son équipement, habilement camoufflé sous la longue veste.

Le silence revint, uniquement troublé par la querelle lointaine de Murtogg et Mullroy qui gardaient l'entrée des geolles.

Ce fut apres quelques petites heures que la femme a l'allure pas tres catholique pour son epoque ce decida a passer a l'attaque .
En effet , ele ne supportait plus de voir ce capitaine sans qu'il la sert dans ces bras !Stupide me dirait vous pour un etre qui est inssensible aux actes les plus sinique !Peu etre !Mais c'etait une dure realitée qu'elle ne pouvait surmonter.

Jack de son cote daignai enfin a renuer une oreille .Gabrielle s'approcha et s'assit a coté d lui et lui relevant son tricorne :

-Dites moi capitaine , ou est la "Licorne Noire" ?

Ce fut comme ci on avait reveiller un mort par une sonnerie de clairon ou un ensemble de cord de chasse !
Il lui attraper les deux joues d'un seul main et l'attira vers lui d'un geste plutot vif :

-Tchut tchut ...PAs si fort !

Gabrielle ouvrit de grands yeux puis regarda vers le bas la main de Jack qui l'etriquait toujours.Elle marmona dans un langaghe presque inconprehensible .

-Si vous me lachiez ...Je pourrais eventuellement en placer une !

Jack se radossa correctement au mur et la lacha enfin avec un sourire malin:

-Milaidy ...

-Bien , fort bien je repose ma question plus ...discretement alors .

Elle s'approcha de Jack d'avantage , foura presque le nez dans l'imposante chevelure du capitaine et lui suggera de nouveau dans une voix a peine perseptible :

-Ou se trouve la Licorne Noire ?

On entendit une grosse explosion, Mercer leva subitement la tête en fronçant les sourcils. Il sortit un pistolet d'une des nombreuses poches interieures de sa veste, lança un regard menaçant aux occupants de la cellule pour les dissuader d'entreprendre quoique ce soit, et s'avança d'un air méfiant et agile en direction de l'explosion.

On entendit au loin Murtogg et Mullroy partir en hurlant, et un autre garde -inconnu celui-ci- dévala les escaliers. Arrivé en bas, aux pieds de Mercer, son visage couvert de sang, il était déjà mort.
Mercer l'écarta d'un coup de pied, comme s'il s'agissait d'un vulgaire parasite, et entreprit de monter les marches.

D'un mouvement habile, le jeune homme sauta sur Mercer, le saisit à la taille et le plaqua de tout son poids en arrière, au sol (façon Chabal ^^), tout en bas des escaliers.
Il se releva, attendit que le mercenaire fasse de même, puis tira la grande épée qui reposait sur son dos, avant de se mettre en position de garde d'un air totalement neutre, froid, concentré, indéchiffrable, une expression qui rappellait un peu celle de Beckett dans certains aspects du visage.
Ses machoires se serrèrent et lorsque le mercenaire pointa vers lui son pistolet, il pencha la tête sur le côté.

- Tricheur. Tu n'as pas changé, David. Pourtant cette fois-ci, c'est toi le pirate. Bas-toi à armes égales et on verra qui gagnera.

Alors, dans un rictus démoniaque, Mercer baissa son arme.

- Vous non plus vous n'avez pas changé, Nathaniel. Railla-t-il.

Il attrapa le sabre du soldat mort et s'avança d'un air méchant et confiant vers le jeune homme, qui paraissait fort freluquet face à une telle masse de muscle et de méchanceté en face de lui.
Se mettant en position de garde, Mercer eut un rire affreusement rauque et sec.

- Comment va votre cou, master Nathaniel? Demanda-t-il d'un ton délibérément insolent, qu'il avait sans doutes acquis à force de fréquenter Beckett.

- Très bien, merci de t'en soucier.

D'un geste incroyablement habile pour quelqu'un d'ordinaire si maladroit, il envoya un coup à l'épaule du mercenaire, qui fut bien évidement paré avec facilité.
S'en suivit une suite continue de bruits de métal s'entrechoquant, les épées se frappant à qui mieux mieux, sans discontinuer, dans la moyenne rapide d'un combat non préparé (à savoir un coup toutes les demi-secondes, ce qui fait beaucoup xD).
L'évidence était que Mercer avait le dessus de part sa taille imposante et la légèreté de son arme, tandis que l'épée médiévale de Nathaniel semblait trop lourde pour le jeune homme.
Cependant, Mercer reculait petit à petit, face à son assaillant, pas à pas, jusqu'à ce que les deux combattants se retrouvent devant la cellule de Jack.
Mercer ne sembla pas noter ce détail, mais Nathaniel lança un regard en coin à Gabrielle.
Le mercenaire suivit le regard du jeune homme, qui profita de ce moment d'inattention pour enfoncer l'épée jusqu'au fort de la lame dans l'épaule du malheureux.

Le mercenaire en fut tellement surprit qu'il lâcha son sabre, qui tomba au sol comme au ralentit dans un bruit metallique.
Puis, comme il l'avait rentrée, Nathaniel retira l'épée d'un mouvement brusque, violent et précis, qui irradia tout le corps du mercenaire -pourtant resistant- d'une déflagration de douleur, une vague déferlante qui prit possession de chacun de ses nerfs. Ses jambes se dérobèrent alors qu'il porta sa main à son épaule, et s'effondra de tout son long, le sang se répendant petit à petit autour de sa plaie ouverte.

Et, comme si de rien n'était, Nathaniel sortit un mouchoir à la blancheur douteuse de sa poche, essuya la lame ensanglantée de son épée avec, le laissa choir au sol et envoya un coup monumental dans la serrure, qui vola en éclats.

- Connaissez-vous la fable du lion et du rat, demanda-t-il d'un air souriant alors qu'il s'inclinait pour laisser passer les prisonniers.

Jess avait tout suivit et sortit en regardant Nathaniel

je vous en remercie mon cher

elle regarda Jack

je viens avec vous,ici tout le monde veut notre mort

elle lui lanca u nregard

Jack et Gabrielle etaient alors assis l'un a cote de l'autre Avec une mine bea , le regard grand et fixe , la bouche entrouverte par l'action non premedité de Nathanael .

GAbrielle laissa un son a peine audible d'etonnement sortir de sa bouche .

Quand a Jack , C'est avec des yeux hahuris qu'il regarda l'homme ouvrire la porte de la cellule .

-Euh ... bon ...

Il se leva doucement et fit signe a Gabrielle de le preceder d'un geste gracieux du gras .

-Apres vous , Milaidy .

Elle lui adressa un grand sourire amuser et arriva a hauteur de Nathanael :

-Je crois bien que sans cette intervention pour le moin heroique , nous aurions moissi la !

-Remettez la parlotte a plus tard les enfants !La flotte va pas tarder a rapliquer !

elle regarda Jack
,attendez passon par ici

elle alla a l'autre bout de la prison,et une sortit y était

après vous mes chers amis

Remettant son épée dans son fourreau sur son dos, Nathaniel s'arrêta un instant. Il porta sa main à son menton, d'un geste de reflexion.

- Capitaine Sparrow, dit-il d'un ton des plus respectueux qui soient, comme s'il s'adressait au Roi d'Angleterre. Est-ce que votre navire est à proximité? Sur le port, peut être?

oui ca serait quand meme bon a savoir
Jess se retourna vers Jack