les apparences sont parfois trompeuses...

Nathaniel était, comme à son habitude, assis en retrait, dans un coin de la taverne. Son épée était posée contre la table, juste à portée de main, il se balançait sur sa chaise et avait rabattu sa grande capuche sur sa tête, lui donnant une apparence de lépreux ou de pénitent.
Sur la table se trouvait une pièce à l'apparence obsolète mais qu'il fixait obstinément, sans bouger. On aurait pu croire qu'il dormait, mais ses sens étaient en éveil.
L'agitation habituelle ne semblait pas l'affecter, tout au moins il prêtait l'oreille pour savoir si ses sources avaient dit vrai.

Sentant un regard sur lui, Nathaniel cessa de se balancer sur sa chaise.
Il glissa imperceptiblement sa main sur le pommeau argenté de son épée, et releva doucement la tête, avant de croiser le regard de l'homme.
Il le fixa, comme s'il tentait de lire dans ses pensées.

Christophe continua à fixer ce jeune homme,il décida de faire plus ample connaissance,après tout personne n'était obliger de savoir qu'il travaillez pour Beckett.Il se metta en face de lui et lui demanda:

Bonjour je suis nouveaux,je ne connais pas trop Tortuga,je vous observe depuis tout à l'heure...Qui sais peut être pourriez vous me faire des conseilles,en échange je vous offre un verre

Nathaniel considéra l'homme en face de lui avec méfiance, sa main toujours sur le pommeau de l'épée.

- Je n'ai pas soif, mais si vous recherchez des renseignements, je vous écoute. dit-il froidement.

[/i]Dans ce cas j'aimerais savoir des informations sur un homme dénommer Nathaniel Swallow,savez vous des choses sur lui?

Christophe croisa les bras,attendant sa réponse et près à esquiver le moindre geste déplacer de la part de l'inconnu

Nathaniel resta un instant silencieux. Il s'était bien douté que l'homme n'était pas un pirate...
Puis il se redressa en enlevant sa main bandée de sur son épée, avant de la poser sur la table..

- Jamais entendu parler, dit-il d'un air totalement détaché. Peut être que si vous m'en dites un peu plus sur lui, je pourrai vous aider à le trouver...

- J'imagine que ce Swallow encoure la peine capitale... Murmura-t-il en portant sa main à son cou caché par son foulard blanc, mimant d'un air joueur l'étreinte implacable de la corde nouée.

Ca on peut le dire...Au fait je ne me suis pas présenter...Je suis Christophe Esteve...Et vous,comment vous appellez vous?

[b]Disa t-il en tendant sa amin gauche pour serrer celle de l'inconnu

Un petit sourire calculateur commença à poindre sur les levres du jeune homme.
Sa main valide glissa jusqu'à son épée, qu'il tira en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, et qu'il pointa sur le sergent devant lui.

- Enchanté, moi c'est Nathaniel Swallow. Dit-il d'une voix plus grave qu'à son habitude. Je suis fort aise de constater que ce vieux Cutler n'a pas changé, et qu'il envoie toujours les autres faire le sale travail à sa place... railla-t-il en menaçant toujours Christophe de la pointe de sa lame.

Nathaniel enleva sa grande capuche, laissant voir son visage doux mais surtout son regard froid et hargneux.
Il prit fermement sa grande épée de ses deux mains et repoussa celle de Christophe d'un mouvement habile, rapide et calculé.

- Cher ami, les coïncidences n'existent pas. Il n'existe que la fatalité. C'est la fatalité qui vous a amené ici, et c'est également elle qui vous en fera partir, sans rien demander de plus, en rapportant à notre... "ami commun" que vous ne m'avez pas trouvé. lâcha-t-il froidement. Le cas échéant je me verrai contraint de vous passer ma lame au travers du corps.

Il inclina la tête en avant, et son aura changea du tout au tout. L'athmosphère devint lourde, tout les pirates se turent en même temps, et avaient les yeux rivés sur les deux hommes se tournant autour comme autant de lions, cherchant une faille dans le regard de l'autre pour attaquer et être sûr de ne pas rater son coup.

Christophe cherchait une faille chez Nathaniel quand il eu une idée,il s'avanca d'un côté et comme un boxeur revenant sur ses pas et leva sa jambe pivota sur lui pour pouvoir donner un violent coup de pied dans le torse.Ce dernier tomba,Christophe avait décidé d'en finir,il sorta son revolver et lui disa d'une voix menacante:

Maintenant tu te relève calmement et sans geste brusque...Je ne voudrais pas ramener à mon patron un clien en pièce...

- Vous êtes si naïf... railla Nathaniel. Vous pensez que Beckett accepterai que vous me rameniez mort? C'est très mal le connaître, et croyez-moi je l'ai connu très intimement.

Tandis qu'il parlait, il jeta un coup d'oeil à son épée. Malheureusement, elle était tombée hors de portée.

- Alors pour récapituler... vous seriez prêt à tirer dans un des ennemis les plus capitaux de Beckett. Vous voulez abîmer un homme tel que moi, apparement il ne vous a pas dit la vraie raison pour laquelle il me veut vivant. Ensuite, vous venez me chercher jusqu'à Tortuga, seul. Vous venez me déranger en pleine méditation, et vous me menacez avec une arme à feu alors que je suis désarmé. Vous voulez que je vous dise, cher ami, vous ne valez pas mieux que ces hommes que votre patron envoie à la potence...

Prenant appui sur ses avant bras, sans pour autant se relever, Nathaniel planta son regard glaçé dans celui de son adversaire.

- Vous êtes un lâche ! Dit-il en envoyant un puissant coup de pied dans le pistolet, s'aidant de ses avant bras pour propulser sa jambe jusqu'au canon froid, envoyant l'arme valser dans les airs.

Lorsque le pistolet tomba, le coup partit bruyament et alla faire éclater une bouteille dans les mains d'un pirate. Celui-ci pensa que c'était son voisin de droite qui avait fait le coup et lui envoya un puissant coup de poing dans le nez.
Comme c'était très souvent le cas dans les tavernes, la bagarre éclata en moins de temps qu'il n'en fallut pour le dire. Profitant de l'agitation générale, Nathaniel se releva d'un bond agile et attrapa son épée que lui lançait un flibustier quelconque en hurlant son nom.
L'entente courtoise n'était finalement pas si rare chez les pirates...

- Ainsi nous voici revenus au point de départ. lâcha Nathaniel en affirmant sa poigne sur l'épée. Vous pourriez vous rendre, je vous laisserai repartir, je m'en porte garant, et tout rentrerai dans l'ordre.

Les coups de feux partaient en tout sens, et les musiciens qui s'étaient tus jusque là se remirent à jouer de plus belle un air entraînant (Two Hornpipes, pour ceux qui savent pas, celui dans POTC II ^^)

Ila cceptera comment vous serez car j'ai la ferme intention de vous emmerner à POrt Royal..

Avec le rafus de tout ces....Pirates!Christophe détacha de sa ceinture son ultime arme,la seule qui était utilisé en cas de force majeur.Il la cahca dans sa mache puis fit mine de faire demi tour et faisai comme si il était résigner à abandonnez.Puis lanca un ....fouet qui s'accocha à la cheville de Nathan se dernier souria satisfait puis le releva mettat une main sur le cou de se dernier et le forca à avancez,il sortit de la taverne et tourna à un coin dans une ruelle sombre ou l'attendait ses fdèles sorldats....

Et vous qui disiee que j'étais seul.Lieutenant tenez le ...

Il passa son fouet avec au bout Nathaniel,Christophe monta sur son étalon noir et saisissa rageusement le fouet et l'attacha au cheval croisant le regard de Swallow...

N'essayez même pas de vous évadez j'ai tendance à ne pas controler cette animal...

- Soit. Je m'avoue vaincu. Mais en tant qu'adversaire vaincu je vous demande une faveur.

Il marqua une pause.

- J'aimerai récupérer mon épée ainsi que la pièce d'argent qui se trouvait sur la table avant que vous ne veniez me déranger.

Nathaniel observa d'un air absent le soldat en uniforme bleu-marine et bordeaux lui passer des menottes lourdes aux poignets.

- Vous avez ma parole que je ne tenterai pas de m'échapper. Lacha-t-il d'un air détaché, comme si c'était la plus pure des évidences.

Christophe hocha négativement la tête et répondis à Nathaniel,décider à l'emmener auprès de Lord Beckett...

Lieutenant dites à un de vos homme de fouiller toutes les tables afin de trouver ce que Mr Swallow veut reprendre en sa posésion....

Quelques minutes plus tard un soldat revin avec la pièce que Nathanel avait demander mais Christophe hésita à lui donner son épée après tout si il la lui rendiat i; y avait de fortes chances que ce dernier essaye de se libèrer.Il l'accrocha à son ceinturon et lui réplqiua séchement:

Quand à ceci je vous la rendrais quand Lord Beckett aura décider de votre destinée.On s'en va!

Ordonna t-il en talonnant son étalon qui se mit au pas allonger.

Lorsque le cheval se mit en marche, Nathaniel suivit le mouvement et apperçu sans le vouloir la silouette si reconnaissable du pirate le plus notoire des caraïbes. Il eut un sourire à peine visible.
Il devait gagner du temps.

- Je ne tenterai pas de m'échapper. Du moins, pas tant que je serai menotté, vous avez ma parole. Dit-il en ralentissant le pas, le cheval ralentit également. N'avez vous donc aucune notion de ce qu'est la chevalerie? N'avez vous jamais entendu parler de ce grand seigneur qu'était Richard Coeur De Lion? (pas le camember, le Roi d'Angleterre xD)

L'animal jeta un coup d'oeil à celui qui l'empêchait d'aller à une vitesse convenable. Nathaniel lui rendit son regard, se rappellant de ses nombreuses leçons d'équitation qui avaient fait de lui un lieutenant cavalier au service de l'Angleterre. Comme cette époque semblait lointaine, celle où on le surnommait Keriaké, et où ses pairs le regardaient avec respect et fierté.


(Keriaké en amérindien signifie celui qui parle aux chevaux =D quelle culture, Jinx )

- Soit, messire. Alors vous devez très certainement connaître son sens du respect et de l'honneur, vous devez savoir qu'il traitait ses ennemis comme ses superieurs, et qu'il éprouvait pour eux un grand respect. Vous êtes prêt à traîner votre ennemi sur le sol. Et vous refusez de me croire sur parole quand je vous dit que je vous suivrai. Dit-il en portant une de ses mains à sa ceinture.

La main se referma sur quelque chose, et un instant plus tard les mains de Nathaniel étaient libres.

- Je suis votre prisonnier. D'accord. Je vous suivrai mais je refuse d'être attaché. Dit-il en avançant ses poignets pour que les soldats le libèrent des lourdes menottes. Ce sera ma dernière revendication, et si vous refusez, je voudrais simplement vous faire savoir que vous êtes très loin d'être en position de force par rapport à moi.

Christophe poussa un soupire puis donna l'ordre de le détacher,puis lui disa d'un ton menacant:

J'ai remplie ma part de mon marché a vous d'en faire autant.Suivez nous sans discutez et ensuite on avisera de votre sort.