Quand la duchesse revient

-On va à la prison. répéta Robin à Josh. Vous venez avec nous ?

Elle le fixa puis Nami qui ne comprenait rien à l'attitude de son amie ...

Bah tant qu'a faire , je vais pas vous laissez seul .

Il hussa les epaules et partit d'une démarche bourrue vers la prison en se mordant une joues un peu.Il connaissait le chemin apr coeur de la prison .La voir une fosi l'avait suffit .Quand Becket avec fait une raffale pour eliminer tout les pirates sa mere et lu iavait finit dans un ats ,pris au piege ,marquer et bon pour la potence jsuque tombe le fameux soir ou la jeune Lore est venus lui ouvrir les portes de la liberté mais il ne revit jamais sa mere.Tout sa tournait dans la tete du nouveau capitaine en avancant vers les fichu barreaux qu'il haisait temps .Mais bon pres tout se disait t'il sa pourrait etre marrant

A la limitte soti on prend de force soit on va par derriere ou alors j'ai encore mieux.

Il fit volte face vers les jeunes femmes et leur montra une poudre blanche dans un sachet qu'il sortit de son long manteau pirate.

une pincée dans du vin et les gardes vont aller voir le marchand de sable .Ils sont tellement avide de vin par ici que sa fera la erre dans mettre sous leur nez ou de leur en vendre

Elle souriat ne coin

(on contineu a la prison?)

(Ben ce qui est énervant c'est qu'on va encore attendre, vu que Laurie attends ce Beckett va faire de Jack ... mdr )

-Oui très excellente je dois dire aussi ! fit Nami avec un sourire en coin. Mais au faite Robin, tu veux faire quoi au juste les libérer ?

Elle fixa la brune qui parut détasbilisée mais se reprit en levant les épaules l'air de dire "Questions idiotes, réponses stupides" :

-Oui je suis conne ... fit Nami en se donnant une tappe. J'ai cru que tu voulais y faire autres choses ...

Josh aussa les epaules et dit a Nami

Pourquoi pas ,on pourrait tres bien nous meme se mettre derriere les bareaux pour se regaler du pain rassis

Dit il ironiquement.C'est vrai qu'il taquinait un peu Nami mais lui fit un clin d'oeil pour lui montrer qu'il la chariait .Ce que le jeunes hommes aimait bien faire souvent d'ailleurs.Il souriat et jetta un coup d'oeil sur son sachet de poudre de somnifere

(bah pour un pirate je vosi que la pendaison ^^ ... becket vosu savez pas quand il passe ou autre pour lore dans le fort?)

(Notre cher Beckett national est fort demandé c'est temps si ! Dès que celle qui le fait ce co(Jinx), je lui en parle. Peut-être ne l'a-t-elle simplement pas vu ... Avec toutes les converses qui s'enchaînent !^^)

Nami sourit mais fut tout bêtement un peu vexée :

-Ce n'est pas grave, je ne suis pas vraiment bien ces temps-si ... fit-elle avec une discrète grimace.

- Eh bien faites-le pendre !

Beckett coupa court à toute argumentation du jeune homme à l'air préssé qui le suivait partout, courant pour se maintenir à sa hauteur, courbant le dos dans un geste félin pour s'attirer les bonnes grâces de son patron.
Mercer marchait, lui, tranquillement, de sa démarche habituelle, un regard protecteur posé sur son employeur.

- Mais, Milord, il faut d'abord avertir le Roi d'Angleterre, cela pourrait déclencher un conflit internationnal majeur et...

- Alors non seulement il coule mes navires, le coupa l'anglais. Mais en plus, il se croit au dessus des lois? Eh bien, Glasgow, personne n'est au dessus de la loi, et ici, la loi, c'est moi. Faites-le pendre.

Ledit Glasgow allait répliquer, mais Beckett s'arrêta net, ce qui fit que le jeune homme lui rentra tout simplement dedans de sa démarche maladroite. Il recula et allait s'excuser quand il vit un sourire malsaint sur le visage de son patron, un sourire qu'il ne lui connaissait pas. Il suivit son regard et vit effectivement une demi-dizaine de personnes attroupées au milieu du couloir, attendant on ne sait quoi.
Le sourire fit aussi son apparition sur les levres de Mercer. Glasgow se sentit alors obligé d'imiter le sourire, même s'il ne comprenait absolument pas la raison d'un tel enjouement, dans un bien piètre rictus comparé au sadisme qui s'affichait sur le visage des deux hommes de chaque côté de lui.

- Voyez-vous cela... siffla le Lord. Invités de marque, vous me faites trop d'honneur...

Ces propos furent suivis par le ricanement grave et rauque de Mercer. Et celui qui se voulait inquiétant de Glasgow, mais qui en fait ne l'était pas du tout, ce qui lui valut un coup de poing de la part du mercernaire, qui l'assoma littéralement.